Farscape RPG Frell! Enfin un forum RPG de Farscape! |
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| Tant qu'à être dans le flood... | |
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+7Telv Mj Varlan Zeth'Phir Genveer Jormund Akhash 11 participants | |
Auteur | Message |
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Zeth'Phir
Messages : 538 Date d'inscription : 04/02/2008 Age : 35 Localisation : Drummondville, QC
Personnage Niveau: 3 Control: (26/26) Wounds: (36/36)
| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Ven 15 Avr - 12:26 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne | |
| | | Jormund
Messages : 409 Date d'inscription : 19/06/2010 Age : 35 Localisation : Québec city
Personnage Niveau: 1 Control: (6/6) Wounds: (9/9)
| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Sam 16 Avr - 7:28 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, | |
| | | Dels
Messages : 114 Date d'inscription : 17/11/2010
Personnage Niveau: 1 Control: (6/6) Wounds: (15/15)
| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Dim 17 Avr - 15:20 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que | |
| | | Jormund
Messages : 409 Date d'inscription : 19/06/2010 Age : 35 Localisation : Québec city
Personnage Niveau: 1 Control: (6/6) Wounds: (9/9)
| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Dim 17 Avr - 20:27 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand | |
| | | Dels
Messages : 114 Date d'inscription : 17/11/2010
Personnage Niveau: 1 Control: (6/6) Wounds: (15/15)
| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Dim 17 Avr - 20:55 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils | |
| | | Zeth'Phir
Messages : 538 Date d'inscription : 04/02/2008 Age : 35 Localisation : Drummondville, QC
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Lun 18 Avr - 4:31 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se | |
| | | Jormund
Messages : 409 Date d'inscription : 19/06/2010 Age : 35 Localisation : Québec city
Personnage Niveau: 1 Control: (6/6) Wounds: (9/9)
| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Lun 18 Avr - 6:37 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent | |
| | | Dels
Messages : 114 Date d'inscription : 17/11/2010
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Lun 18 Avr - 15:37 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les | |
| | | Jormund
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Lun 18 Avr - 18:34 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles | |
| | | Dels
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Lun 18 Avr - 19:49 | |
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| | | Zeth'Phir
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mar 19 Avr - 2:24 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se | |
| | | Jormund
Messages : 409 Date d'inscription : 19/06/2010 Age : 35 Localisation : Québec city
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mar 19 Avr - 5:10 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent | |
| | | Dels
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mar 19 Avr - 6:31 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés | |
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mar 19 Avr - 15:13 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme | |
| | | Dels
Messages : 114 Date d'inscription : 17/11/2010
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mar 19 Avr - 15:20 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des | |
| | | Jormund
Messages : 409 Date d'inscription : 19/06/2010 Age : 35 Localisation : Québec city
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mar 19 Avr - 16:56 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches | |
| | | Dels
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mar 19 Avr - 17:15 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans | |
| | | Jormund
Messages : 409 Date d'inscription : 19/06/2010 Age : 35 Localisation : Québec city
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mer 20 Avr - 6:34 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une | |
| | | Dels
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mer 20 Avr - 9:21 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison | |
| | | Jormund
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Mer 20 Avr - 16:15 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du (Kansas) | |
| | | Dels
Messages : 114 Date d'inscription : 17/11/2010
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Jeu 21 Avr - 10:49 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. | |
| | | Jormund
Messages : 409 Date d'inscription : 19/06/2010 Age : 35 Localisation : Québec city
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Ven 22 Avr - 13:15 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène | |
| | | Dels
Messages : 114 Date d'inscription : 17/11/2010
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Ven 22 Avr - 14:43 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui | |
| | | Jormund
Messages : 409 Date d'inscription : 19/06/2010 Age : 35 Localisation : Québec city
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Sam 23 Avr - 10:03 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui s'engageait | |
| | | Dels
Messages : 114 Date d'inscription : 17/11/2010
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| Sujet: Re: Tant qu'à être dans le flood... Sam 23 Avr - 10:04 | |
| Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença. Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria : - Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph... - Qui?! - Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré... Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...
Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...
Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate! Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui s'engageait avec | |
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