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 Tant qu'à être dans le flood...

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Zeth'Phir

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MessageSujet: Re: Tant qu'à être dans le flood...   Tant qu'à être dans le flood... - Page 30 Icon_minitimeJeu 30 Juin - 14:33

Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença.
Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria :
- Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph...
- Qui?!
- Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré...
Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...

Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...

Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate!
Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui s'engageait avec tout son phallus molaçon sur les voies intestinales de l'étrange noël du marchepied candide regardait une décapotable avec des pieds chromés.

Bref, mon illusoire rêve grotesque m'avait salé la langue, et poivré les intestins. Cela me surprenait de m'ausculter l'esprit occipital. Il fallait plusieurs semaines, voire quelques interstices pour mordre dans les dents de givre poivré que leurs entrailles avaient régurgitées des profondeurs de l'anus coagulé d'un annanas pédophile. Mon carton jaune, dont une belle salope ornait les faces gonflées de crabes mauves dû aux eaux
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Jormund

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MessageSujet: Re: Tant qu'à être dans le flood...   Tant qu'à être dans le flood... - Page 30 Icon_minitimeJeu 30 Juin - 17:27

Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença.
Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria :
- Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph...
- Qui?!
- Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré...
Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...

Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...

Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate!
Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui s'engageait avec tout son phallus molaçon sur les voies intestinales de l'étrange noël du marchepied candide regardait une décapotable avec des pieds chromés.

Bref, mon illusoire rêve grotesque m'avait salé la langue, et poivré les intestins. Cela me surprenait de m'ausculter l'esprit occipital. Il fallait plusieurs semaines, voire quelques interstices pour mordre dans les dents de givre poivré que leurs entrailles avaient régurgitées des profondeurs de l'anus coagulé d'un annanas pédophile. Mon carton jaune, dont une belle salope ornait les faces gonflées de crabes mauves dû aux eaux troublées
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MessageSujet: Re: Tant qu'à être dans le flood...   Tant qu'à être dans le flood... - Page 30 Icon_minitimeMer 6 Juil - 16:26

Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença.
Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria :
- Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph...
- Qui?!
- Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré...
Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...

Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...

Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate!
Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui s'engageait avec tout son phallus molaçon sur les voies intestinales de l'étrange noël du marchepied candide regardait une décapotable avec des pieds chromés.

Bref, mon illusoire rêve grotesque m'avait salé la langue, et poivré les intestins. Cela me surprenait de m'ausculter l'esprit occipital. Il fallait plusieurs semaines, voire quelques interstices pour mordre dans les dents de givre poivré que leurs entrailles avaient régurgitées des profondeurs de l'anus coagulé d'un annanas pédophile. Mon carton jaune, dont une belle salope ornait les faces gonflées de crabes mauves dû aux eaux troublées d'urine
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MessageSujet: Re: Tant qu'à être dans le flood...   Tant qu'à être dans le flood... - Page 30 Icon_minitimeJeu 7 Juil - 1:33

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Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria :
- Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph...
- Qui?!
- Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré...
Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...

Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...

Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate!
Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui s'engageait avec tout son phallus molaçon sur les voies intestinales de l'étrange noël du marchepied candide regardait une décapotable avec des pieds chromés.

Bref, mon illusoire rêve grotesque m'avait salé la langue, et poivré les intestins. Cela me surprenait de m'ausculter l'esprit occipital. Il fallait plusieurs semaines, voire quelques interstices pour mordre dans les dents de givre poivré que leurs entrailles avaient régurgitées des profondeurs de l'anus coagulé d'un annanas pédophile. Mon carton jaune, dont une belle salope ornait les faces gonflées de crabes mauves dû aux eaux troublées d'urine du
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MessageSujet: Re: Tant qu'à être dans le flood...   Tant qu'à être dans le flood... - Page 30 Icon_minitimeJeu 7 Juil - 2:07

Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença.
Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria :
- Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph...
- Qui?!
- Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré...
Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...

Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...

Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate!
Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui s'engageait avec tout son phallus molaçon sur les voies intestinales de l'étrange noël du marchepied candide regardait une décapotable avec des pieds chromés.

Bref, mon illusoire rêve grotesque m'avait salé la langue, et poivré les intestins. Cela me surprenait de m'ausculter l'esprit occipital. Il fallait plusieurs semaines, voire quelques interstices pour mordre dans les dents de givre poivré que leurs entrailles avaient régurgitées des profondeurs de l'anus coagulé d'un annanas pédophile. Mon carton jaune, dont une belle salope ornait les faces gonflées de crabes mauves dû aux eaux troublées d'urine du dinosaure
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MessageSujet: Re: Tant qu'à être dans le flood...   Tant qu'à être dans le flood... - Page 30 Icon_minitimeVen 8 Juil - 5:31

Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença.
Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria :
- Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph...
- Qui?!
- Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré...
Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...

Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...

Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate!
Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui s'engageait avec tout son phallus molaçon sur les voies intestinales de l'étrange noël du marchepied candide regardait une décapotable avec des pieds chromés.

Bref, mon illusoire rêve grotesque m'avait salé la langue, et poivré les intestins. Cela me surprenait de m'ausculter l'esprit occipital. Il fallait plusieurs semaines, voire quelques interstices pour mordre dans les dents de givre poivré que leurs entrailles avaient régurgitées des profondeurs de l'anus coagulé d'un annanas pédophile. Mon carton jaune, dont une belle salope ornait les faces gonflées de crabes mauves dû aux eaux troublées d'urine du dinosaure savant
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Zeth'Phir

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MessageSujet: Re: Tant qu'à être dans le flood...   Tant qu'à être dans le flood... - Page 30 Icon_minitimeSam 9 Juil - 12:38

Une maladie affectait une personne dont le syndrome était la perte de chaussures et, en oubliant ses clefs, il se vit forcé de troquer ses pantalons afin de pouvoir enjamber le muret qui gagnait en ampleur. D'une main molle et moite, voire suintante de liquide brunâtre provenant d'une erreur de comportement très équivoque, la querelle commença.
Cette lutte pour vendre son ford 1950, qui avait des odeurs encore fortes de lait, pouvait encore chavirer de dernière inspiration alors qu'ils entraient en contact permanent, simplement, avec d'autres trous. C'était une chute intentionnelle, préméditée et calculée que certains nommeraient déplacée, voire infantile. Les cristaux dansant, affilés maladroitement sur du marbre érodé par mégarde, s'enfonçaient par dizaines à des profondeurs insondables que leurs habiles chute capillaire mettaient largement, ce côté-ci, de biais. Alors, dans ce contact archaïque, fatal à son pacemaker, il s'écria :
- Hante quelqu'un à l'autre extrémité intersidérale et lache ton chat! Tes enfants n'auront pas mal si tu laisses s'agglutiner la mortalité autour de Joseph...
- Qui?!
- Tu sais, celui qui mangeait mon avion 1944 en grignotant l'hélice et buvant l'huile de mon ford!!!! Quel avarie que ce sale enfouaré...
Dit-il avant de s'enfoncer dans la mort, une chaussure verte insérée en catimini dans sa poche pleine à craquer. Ses fleurs fanées serviront à manger de petits macchabées incongrus et chaleureux de leurs miteuses manies, accompagné de délectable jus de frein-moteur interstellaire. Son palais abyssal, dénué d'intérêt pour Meniel, donnait l'impression d'ombres mobiles attaquant puces par induction de vide et de vides induits par les puces, dont il ne percevrait plus la famine. Au minimum, son vieux ford pourrait contenter l'autre juron refroidi avec un condom au pommes bâillonné sans plus de conviction autour d'une bière velue, délicieusement présentée dans une enveloppe aux arômes cadavérique. Ce qui n'était pas qu'une copie imprimée malencontreuse comme certains nouveaux catalogues débiles, sans contrefaçon donc, sans petit nouveau, rabougris et marron...

Je ne raconte que sottises, inepties expulsées par voies nasales infectées. Nous, personnes affectées de multiples syndromes en lien direct avec les chaussures, nous pourrons peut-être pisser violemment à tord et au travers de diverses cochonneries anales, vidant la laine écossaise de facture élimée...

Sortant du cul émasculé de centaines de façon, le vin de liquide aromatisé d'un jus aromatique, il se dit que son muret ne tenait plus que par de minces élucubrations juvéniles. Tous badigeonnent inutilement leurs espérances publicitaires sur des ossements de narvals du Liberia. La laine crasseuse, donc, possiblement policière et je ne sauverai pas tous, patate!
Écosse, pays pluriel du ciel mourant, étouffé par le poil bleaché avec du vinaigre de vin d'agrumes. Fameux liquide crémeux aux tapis citronné qui se tortille le reflet au fond du baril rouillé de partout. C'est une bergère aux yeux caramels, qui broutait à l'improviste une baleine borgne, bicéphale et inadaptée à l'insurmontable ballotement pudique de son adorable intestin. C'était parmi l'intensité moutonneuse, voire brumeuse et incomplète, que la jeune baleine aperçut ses chaussures dans le Ford 1950 avant la mort. L'innocente continuité perverse de cette querelle sanglante allait certainement finir par dépasser la longévité de la statue non-figurative de chez un vendeur d'albatros muets. Ce ringard taxidermiste avait à réfléchir à des apôtres abrutis, peu bavards, mais biens musclés et gras dans tout leurs membres, mais encore, trapus, grisés et s'enfilant les uns les autres. Tout, ou presque, bref, une semi-totalité de tarés qui aiment se raser du poignet au genoux sans prendre le temps de papoter comme des parachutistes italiens cocus portant des collants bien huilés. Telles des pucelles affolées se gargarisant dans des baudruches poilues serties de jujubes rouges, il se mordit le bord de l'arcane afin de mieux questionner les dauphins qui fouraillaient dans la mer. Leur connerie était telle, personne défleuré, que quand ils se serrèrent les couilles, ils se retrouvèrent coincés comme des autruches dans une prison du Novlangue. L'énergumène qui s'engageait avec tout son phallus molaçon sur les voies intestinales de l'étrange noël du marchepied candide regardait une décapotable avec des pieds chromés.

Bref, mon illusoire rêve grotesque m'avait salé la langue, et poivré les intestins. Cela me surprenait de m'ausculter l'esprit occipital. Il fallait plusieurs semaines, voire quelques interstices pour mordre dans les dents de givre poivré que leurs entrailles avaient régurgitées des profondeurs de l'anus coagulé d'un annanas pédophile. Mon carton jaune, dont une belle salope ornait les faces gonflées de crabes mauves dû aux eaux troublées d'urine du dinosaure savant et
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